La réglementation en matière de sécurité et de protection des usagers dans l’environnement urbain ne cesse d’évoluer. Parce que les populations et les flux ne cessent de s’intensifier, parce que les modes de transports inter-urbains se diversifient, de nouveaux dangers apparaissent et nécessitent la mise en place de dispositifs de protection.
C’est le cas notamment des barrières de ville, que l’on voit de plus en plus systématiquement aux abords des écoles, des abribus placés près de chaussées très passantes, etc. Mais la bonne nouvelle, c’est que ce mobilier est aussi de plus en plus design, et utilisé comme support à des éléments décoratifs comme les suspensions de fleurs.
Sécuriser l’environnement urbain…
Les barrières de ville jouent un rôle essentiel de protection des usagers les plus fragiles, en l’occurrence les piétons, dans un tissu urbain soumis à des flux de véhicules motorisés de plus en plus denses. Solidement ancrées au sol, elles permettent d’éviter la survenue d’incidents ou d’infractions (piéton qui ne chute pas sur la chaussée, véhicule qui ne se gare pas sur le trottoir) ou de limiter la gravité d’incidents lorsqu’elles ne peuvent empêcher leur survenue (lorsqu’un conducteur perd le contrôle de son véhicule et part en direction du trottoir notamment). Mais il faut reconnaître qu’un paysage urbain rempli de barrières n’est pas le plus agréable à l’œil. À moins d’imaginer des produits design.
… tout en le décorant
D’abord, la couleur : les normes de sécurité n’empêchent pas d’utiliser d’autres coloris que le gris métal pour peindre les barrières de ville. Opter pour un modèle de couleur permet déjà de contribuer à égayer le paysage. Reste ensuite à opter pour un design qui apporte à son tour une touche d’esthétique, et le tour est joué !
Les fabricants de barrières de ville l’ont bien compris, à l’image de DMC Direct, qui propose par exemple des modèles “vagues” tout en courbes.